« J’aurais pu faire un carnage dès l’instant où j’ai piraté mon module superviseur ; en tout cas, si je n’avais pas découvert un accès au bouquet de chaînes de divertissement relayées par les satellites de la compagnie. 35 000 heures plus tard, aucun meurtre à signaler, mais, à vue de nez, un peu moins de 35 000 heures de films, de séries, de lectures, de jeux et de musique consommés. Comme impitoyable machine à tuer, on peut difficilement faire pire. »
Et quand notre androïde de sécurité met au jour un complot visant à éliminer les clients qu’il est censé protéger, il ne recule ni devant le sabotage ni devant l’assassinat ; il s’interpose même face au danger, quitte à y laisser des morceaux.
Martha Wells signe avec cette série un récit tout en ironie et en sensibilité sur l’éveil à la conscience et l’exercice du libre arbitre.
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“I could have gone on a rampage the moment I hacked into my supervisor module; at least, if I hadn’t discovered access to the bouquet of entertainment channels relayed by the company’s satellites. 35,000 hours later, no killings to report, but, at a glance, a little less than 35,000 hours of movies, series, reading, games and music consumed. As a ruthless killing machine, you can hardly do worse.
And when our security android uncovers a plot to eliminate the clients he’s supposed to protect, he doesn’t shy away from sabotage or assassination; he even stands in the way of danger, even if it means leaving bits behind.
Martha Wells signs with this series a story all in irony and sensitivity on the awakening to the conscience and the exercise of the free will.
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